ExoStim bénéficie d’une collaboration exceptionnelle avec Vivalab pour prévenir la perte d’autonomie et l’apparition de troubles cognitifs !
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Ecrit le 26 Oct
Mise à jour le 14 Nov
par Ngaku Arthur, Lead Développeur
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Logiciel Stimulation Application mobile Solution Jeux cognitifs Troubles Cognitifs
Professionnel Particulier ExoStim

Première solution de stimulation cognitive, ExoStim est maintenant accompagnée de Viva Lab ! Avec la Carsat Sud-Est et ses partenaires, le repérage et le dépistage des fragilités pourra évoluer vers une solution de prévention des troubles cognitifs pour les particuliers.

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ExoStim à Meyreuil commence une collaboration avec Carsat Sud-Est, soutenue par Viva Lab dans le but de repérer et de prendre en charge les troubles cognitifs ! Une évolution majeure pour palier la perte d’autonomie et les fragilités des personnes concernées, même à domicile.

Viva Lab est issu d’un partenariat entre l’Agirc-Arrco, France Active, la Caisse des Dépôts, la MSA et la CNAV. Dispositif de soutien et d’accompagnement, Viva Lab encourage les initiatives technologiques, organisationnelles ou techniques dans le domaine de la prévention de la perte d’autonomie !

Prévention à domicile, lutte contre l’isolement, soutien aux aidants, projet de lieux de vie collectifs, accompagnement à la mobilité et adaptation du logement sont les champs d’actions concrets de cette organisation.

Pour prendre en charge les troubles cognitifs de tous et commencer un entraînement sur-mesure, ExoStim développe Adéquation ExoStim grâce à son exceptionnelle collaboration et ses nouveaux partenaires.

Déjà présent dans plus de 50 établissements, ExoStim souhaitait répondre à la demande croissante des particuliers et de leurs aidants. Adéquation Exostim permettra d’accompagner les particuliers avec ou sans référent !

Trois actions sont engagées pour cette collaboration avec Viva Lab pour prévenir les troubles cognitifs à domicile :

  • L’ exceptionnelle aide financière au développement d’ « Adéquation ExoStim »
  • L’accompagnement à une levée de fonds en partenariat avec France Active
  • L’accompagnement à la structuration du projet à destination des particuliers notamment sur les impacts sociaux et sociétaux (RSE, ESS…)

Destinée aux particuliers et aidants à domicile, Adéquation ExoStim répond aux problématiques courantes des personnes fragilisées.

Elles ne sont pas en centre spécialisé ou ont un délai de 6 mois à un an pour un rendez-vous en centre mémoire.

  • Adéquation ExoStim résout les inquiétudes 1 français sur 3 de plus de 50 ans se plaint de problèmes de mémoire.
  • Prévient pour le maintien de l’autonomie à domicile
  • Prend en charge les troubles cognitifs

Vivalab finance le développement de ce nouveau projet à visée plus large, en compagnie des développeurs de Simplon.prod ! Les testeurs d’Adéquation ExoStim participeront à la finalisation et à la mise en place de cette solution à domicile. Pour ce faire, les testeurs du LAB des Senioriales, du LAB de l’Association des Paralysés de France et des utilisateurs ExoStim ont répondus présents à l’appel !

Notre solution à domicile contre les troubles cognitifs comprend une évaluation gratuite annuelle réalisable sur smartphone et tablette ! Un entraînement cognitif sur-mesure sera disponible à partir du troisième trimestre de cette année.

Vous êtes intéressé par Adéquation ExoStim ? Vous souhaitez que les problèmes d’un proche ou les vôtres soient pris en charge ? Contactez-nous pour toute information au 06 38 28 42 38 ou à l’adresse contact@exostim.com !

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retour-normale-ehpad
25 Oct
  Professionnel
Pas de retour à la normale pour les EHPAD

L’image des EHPAD est, depuis la crise du Covid-19, fortement dégradée. Le confinement en chambre, le nombre de décès, les restrictions sur les visites et le hiatus autour de la vaccination des soignants ont encore dégradé l’image que les Français ont de ces établissements. 


Conséquence : une baisse du taux d’occupation et des recettes, pour des charges inchangées, voire supérieures à cause des surcoûts liés à l’adaptation des établissements à la pandémie.

En outre, la crise a exacerbé les tensions préexistantes quant au manque de ressources, de matériels et de personnels dont souffrent chroniquement ces établissements.

Pour aller au-delà de la lecture médiatique très sombre, nous avons décidé de mener l’enquête sur le terrain et c’est une image bien différente de celle véhiculée par BFM TV qui se dessine. 

Les professionnels que nous avons rencontrés, nous ont raconté leur expérience de cette crise, les difficultés rencontrées pour protéger les résidents et les équipes, mais aussi la solidarité, l’entre-aide qui s’est formée pour continuer à accompagner les résidents.

Contrer la menace de la maladie

Pour les résidents et le personnel

Les EHPAD ont dû adapter leurs modes opératoires pour protéger leurs résidents face à la nouvelle maladie. Celle-ci s’est révélée particulièrement meurtrière parmi les résidents d’EHPAD lorsqu’elle était insuffisamment contenue. L’établissement de Korian à Mougins a été sous le feu des projecteurs au début de la crise, suite au décès de 39 résidents (sur 109) en mars 2020.

Les processus ont dû être revus en profondeur : les contacts physiques doivent être limités autant que possible, les activités de groupe sont proscrites. Des gestes du quotidien apparemment insignifiants (se prêter un crayon) sont remis en question.

Insuffisance des matériels de protection, des tests et vaccins

Les difficultés se sont succédé, la résolution de chaque problème semblant en créer un nouveau. Les établissements ont d’abord dû faire face au manque de matériel de protection. Pas de masques, pas de blouses. C’est ensuite le manque de tests qui a complexifié le travail des équipes et enfin, début 2020, les difficultés d’approvisionnement en vaccins. 

Contrairement aux épidémies de maladies respiratoires qui durent généralement 15 jours, la crise covid s’installe dans la durée et bien malin qui pourrait en prédire l’issue. 

Pour les soignants en Ehpad, la difficulté réside dans la capacité à protéger les résidents et les professionnels sur un temps indéfini.

Les conséquences de l'isolement

Le confinement en chambre à été particulièrement éprouvant pour tout le monde. Les résidents eux-mêmes, leur famille qui n’ont plus eu la possibilité de les voir, les soignants, qui ont dû, tant bien que mal, continuer d’accompagner et faire leur métier.

L’isolement et ses conséquences sont encore mal définis médicalement, mais les multiples sources de perturbations pour les résidents se sont traduites par des conséquences immédiates sur leur santé : dénutrition, aggravation de la perte d’autonomie, pathologies somatiques, psychologiques, perte de capacités cognitives, voire syndrome de glissement.

Les conséquences de cette décision ont été soulignées immédiatement par le Conseil National Professionnel de Gériatrie : « anorexie et amaigrissement, déclin cognitif accéléré, majoration de troubles du comportement, tristesse, … ». L’isolement quasi total des résidents en EHPAD a favorisé une dégradation de leurs conditions physiques et psychologiques, dont les conséquences sont difficiles à prévoir.

Les activités doivent être repensées pour faire face à l’isolement. Les activités de stimulation, plus que jamais nécessaires, sont adaptées avec les moyens du bord : outils numériques si possible, papier-crayon sinon. Les activités collectives font place aux activités individuelles.

Les difficultés organisationnelles

Un afflux de recommandations et incertitude réglementaire

Tout au long de la crise, les consignes gouvernementales sont instables. Elles tombent du jour au lendemain et une grande marge de décision est laissée à la discrétion des directeurs. Certains ont pris la décision de confiner les employés avec les résidents. D’autres ont adapté tous les plannings des employés (psychomotriciens, ergothérapeutes…) pour répondre aux besoins des résidents.

L’inquiétude des résidents et de leur famille est accentuée par les annonces gouvernementales parfois imprécises ou contradictoires. Les EHPAD redoublent leurs efforts en communication pour rassurer les proches et maintenir un lien pour les résidents avec l’extérieur.

De ces difficultés est née une grande solidarité entre les équipes mais aussi une collaboration avec les autres acteurs concernés : directions des groupes comme ARPAVIE, les autres EHPAD du territoire, les collectivités, les ARS… De nombreux échanges ont lieu pour déterminer les meilleures pratiques à mettre en place, ce qui fonctionne, ce qui fonctionne moins. Une aide est apportée pour les établissements qui manquent de matériel ou de personnel.

Un bilan à suivre de près

Les conséquences des décisions (confinement, isolement…) sont encore difficiles à déterminer. A court terme, des signes sur la santé mentale et physique des seniors ont été signalés. Mais quelle ampleur prendront-ils sur le long terme ?

La difficulté pour les EHPAD est de cultiver la culture de l’accompagnement, avec le soin.  L’accompagnement des résidents dans leur développement cognitif, personnel, est tout aussi important que leur santé physique.

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25 Oct
  Professionnel
Développer l’accompagnement en EHPAD, malgré la crise du COVID-19

Rencontre avec Marianne Pannetier, Directrice de l'EHPAD du Bois-Doucet, ARPAV

Il y aura un avant et un après la crise sanitaire du Covid 19 pour les EHPAD. La crise qui a touché plus sévèrement les populations âgées, a provoqué un véritable séisme dans les institutions telles les EHPAD. Cette crise a été une souffrance pour les résidents, pour les familles et pour les soignants.

Les décisions à prendre pour protéger les résidents de la maladie et préserver la santé des équipes soignantes, ont pu être mal perçues, mal comprises, mal suivies, dû à la sévérité de la situation.

En 2020, les trois quarts des Ehpad ont eu au moins un résident atteint et un établissement sur cinq a connu un épisode dit « critique ». La campagne de vaccination ayant débuté dans les Ehpad en toute fin d'année 2020, progressivement, les contaminations baissent. On dénombre moins de 100 nouveaux épisodes par semaine depuis début mai 2021.

Rencontre avec Marianne Pannetier, Directrice de l'EHPAD du Bois-Doucet, ARPAVIE

À quel moment vous êtes-vous rendu compte que cette crise sanitaire allait être différente des précédentes que vous auriez pu connaître ?

Nous n’avons jamais connu d'autres crises que celle-là dans les EHPAD. Nous, les directeurs, nous avons compris que ça allait être très compliqué dès le départ parce qu'on n'avait pas d'échéance. La problématique de cette épidémie, contrairement à une grippe ou une autre épidémie d'infections respiratoires qui durent 15 jours-3 semaines, là nous n’avions pas de date de fin. Ce ne sont pas les mesures gouvernementales qui nous ont inquiétés mais plus de se dire combien de temps il allait falloir tenir avec cette crise.

Quelles ont été vos relations avec les acteurs institutionnels, notamment l'ARS ou les collectivités territoriales ?

On a eu la chance que l'ARS et le département aient été d'un grand soutien, puisqu'ils ont déployé très vite des moyens qui ont pu répondre à toutes les problématiques qu'on pouvait rencontrer. Des problématiques de gestion de la crise ou des problématiques humaines. On a reçu des appels très bienveillants des autorités qui étaient là pour nous aider et nous accompagner. Quelles que soient les situations qu'on pouvait rencontrer sur les établissements et sans jugement ou a priori sur les établissements.

Au niveau local, nous avons de très bons rapports avec la commune, avec le CCAS et puis le maire de la commune. Il y a eu beaucoup de solidarité pendant la crise sanitaire et beaucoup d'attention, portée en tout cas à l'accompagnement des personnes âgées.

Comment l'annonce du confinement en chambre d'abord, puis le maintien sur le long terme de ces mesures ont été vécues à la fois par les résidents et par leurs proches ?

Pour les résidents, ça a été subi. Ils n'ont pas eu le choix. Il a fallu travailler en équipe sur la façon de rassurer, parce que la difficulté quand les résidents ont été confinés était qu'il n'y avait plus de visibilité pour les proches sur ce qui se passait dans l'EHPAD.

Il a fallu rassurer les familles et casser ce cloisonnement entre l'extérieur et l'EHPAD. On a mis en place des Skype entre les résidents et leur famille, des cellules d'accompagnement téléphonique pour qu'ils puissent avoir leur proche au téléphone. On a transmis un maximum d'informations sur la vie de l'établissement par mail aux familles.

La communication avec les familles était primordiale. La disponibilité de la direction pour tout questionnement de famille était très importante aussi.

J'ai retravaillé l'organisation des équipes pour que les équipes soient au plus près des résidents dans leur chambre. Comme toutes les activités collectives étaient annulées, on a recentré tous nos accompagnements sur de l'accompagnement individuel.

On a également eu tout un travail, un questionnement en équipe pour repenser notre métier afin que les résidents se sentent le moins isolés possible.

Quelles sont les activités individuelles que vous avez pu proposer ?

C'est passé de la simple rencontre avec des visites en chambre à des activités sportives, de la stimulation cognitive avec des tablettes ou d’autres outils...

Les accompagnements individuels ne se limitent pas à la chambre. On avait mis en place dans l'établissement des sorties, puisqu’on a la chance d'avoir un beau jardin. Les accompagnements individuels, étaient aussi décidés en fonction de la demande de chaque résident et en fonction des métiers représentés dans l'EHPAD.

Avez-vous utilisé de nouveaux outils ?

On a surtout proposé de nouvelles activités à partir de l'existant, avec les moyens développés. Et on a le numérique qui s'est développé. On a eu des dons de tablettes par la Fondation de France et des entreprises locales qui nous ont permis de faire beaucoup plus de visio avec les familles et d'accompagnement de stimulation cognitive.

Comment vos équipes ont-elles réussi à traverser la crise ?

Il y a eu un sentiment de peur. Les professionnels avaient peur de ramener le virus dans leurs familles. Il y a eu aussi la peur que l’équipe soit touchée et d'être en sous-effectif. Il y a eu aussi un sentiment d'impuissance. Il y a toujours ce sentiment de se dire est-ce qu’on fait bien notre travail ?

Le point positif, c'est qu'il y a eu beaucoup de solidarité entre les équipes. Elles se sont vraiment serrées les coudes et se sont motivées entre elles pour pouvoir avancer. C'est cette solidarité qui nous a permis de nous organiser très rapidement.

Comment est-ce que la crise a affecté le travail des salarié.e.s ?

J'ai beaucoup de salariées: les psychomotriciens, les ergothérapeutes, qui ont fonctionné ainsi : elles ont décalé leurs horaires de travail pour être présentes sur les temps forts des résidents, sur les temps où ils avaient besoin.

Ils arrivaient plus tard le matin pour accompagner plusieurs résidents en chambre surtout lors de la prise des repas, pour éviter la perte d’appétit. Le soir pareil au lieu de terminer leur poste à 18h, ils partaient de l'établissement à 19h30.

Faire partie d'Arpavie a-t-il été un atout ?

Avoir Arpavie derrière nous nous a permis d'avoir une direction médicale qui analysait aussi toutes les mesures gouvernementales et qui nous aidait à rédiger les protocoles et les procédures à suivre.

Ça a été aussi bénéfique quand les prix se sont envolés pour les masques et les autres produits d'équipements individuels. On a pu commander en groupe avec plusieurs EHPAD pour limiter les coûts d'achat de protection individuelle pour les soignants. Le fait d'appartenir à un groupe a été très bénéfique, même pour le soutien moral des professionnels. On a été bien accompagnés, on ne s'est pas senti seul.
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26 Oct
  Particulier
Prévenir la maladie d’Alzheimer grâce à la stimulation cognitive.

Pathologie neurodégénérative, la maladie d’Alzheimer entraîne des troubles cognitifs et la perte de la mémoire chez le sujet âgé. À l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement curatif. Pour lutter et prévenir cette pathologie, pratiquer une stimulation cognitive régulière est hautement recommandée. Prise en charge non médicamenteuse avec des résultats efficaces, cette sollicitation, souvent réalisée par l’aidant, consiste à faire travailler le cerveau du patient à l’aide d’exercices et de mises en situation.

La stimulation cognitive pour prévenir ou ralentir Alzheimer

Afin de retarder les effets du vieillissement et de maintenir ses capacités intellectuelles, à tout âge, il est recommandé de stimuler ses fonctions cérébrales à l’aide d’apprentissages et d’activités variées. Non sollicité, le cerveau a tendance à perdre des connexions et à décliner.

Dans la cadre de la maladie d’ Alzheimer, la stimulation cognitive constitue un enjeu majeur de prévention mais aussi de ralentissement dans la progression de la maladie. Son approche pédagogique globale permet de préserver la plasticité cérébrale en tenant compte des problématiques cognitives, psychologiques et sociales de la personne âgée. La mise en place d’exercices, de jeux ou d’autres activités sous forme d’ateliers permettant de faire travailler le cerveau donnent d’excellents résultats.

Pour les malades, cette stimulation vise plusieurs objectifs. D’une part, les exercices permettent de ralentir le déclin de la mémoire (visuelle, spatiale et/ou auditive) mais aident également à améliorer les facultés d’adaptation et de concentration des seniors. Cette sollicitation cérébrale peut également aider à détecter les signes de toute autre pathologie concomitante liée à l’âge, permettant ainsi de prendre les mesures adéquates pour retarder son évolution. Par ailleurs, ces activités intellectuelles, agissent sur la capacité des patients à maintenir un lien social ainsi qu’à réguler leurs troubles de l’humeur, ceux-ci gagnant en autonomie et retrouvant l’estime de soi.

La stimulation cognitive, les exercices

La stimulation cognitive est efficace si elle est bien adaptée au profil de la personne âgée. Il est important de tenir compte de ses envies mais aussi de ses capacités intellectuelles. La participation et la réussite de l’exercice y sont à chaque fois valorisées et le malade félicité afin de renforcer sa confiance en lui. Il est conseillé de varier les activités proposées aux seniors afin de mobiliser l’ensemble de ses fonctions cérébrales. Plusieurs types d’exercices sont possibles :

  • Des jeux de réflexion : mots croisés, jeux de logique, puzzles…
  • Des ateliers de compréhension : lecture de journaux, de romans, atelier d’écriture…
  • Des activités créatives : peinture, musique, modelage…
  • Les activités d’orientation : promenade, danse, sorties…

Dans le cadre de la sensibilisation et de la prévention de la maladie d’ Alzheimer, ces activités qui maintiennent la bonne santé des vaisseaux et entretiennent la plasticité cérébrale sont particulièrement adaptées. Qu’elles se déroulent sous forme d’ateliers, de jeux de société mais aussi via une application pour tablette et smartphone, la stimulation cognitive est essentielle dans la prise en charge de cette pathologie. Ludiques, faciles à mettre en place et à prendre en main, développant un ensemble de solutions variées, les nouvelles technologies sont devenues un outil essentiel dans l’accompagnement des malades de troubles cognitifs.

Des applications numériques, à l’instar d’ExoStism, permettent de pratiquer des exercices ludiques adaptés à différents niveaux cognitifs. Développée à destination des psychologues, ergothérapeutes, psychomotriciens et autres professionnels paramédicaux, cette solution permet d’accompagner des malades seuls ou en groupe, à domicile ou en structure médicalisée, selon un programme (préconisé, à la carte ou aléatoire) personnalisé en fonction de leur profil. Reconnu comme un véritable dispositif médical, ce coach cérébral permet de stimuler la cognition (mémoire, attention, langage…) et de lutter contre les troubles du comportement. Disponible sur tablette (iOS et Android), ExoStim bénéficie d’un accompagnement (formation et suivi opérationnel).

À noter : Réalisée par un personnel spécialisé, souvent l’aidant, la stimulation cognitive se pratique individuellement ou en petits groupes homogènes aux stades léger à modéré de la maladie.

exostim-beneficie-collaboration-exceptionnelle-vivalab-prevenir-perte-autonomie-apparition-troubles-cognitifs
26 Oct
  Professionnel
ExoStim bénéficie d’une collaboration exceptionnelle avec Vivalab pour prévenir la perte d’autonomie et l’apparition de troubles cognitifs !

Première solution de stimulation cognitive, ExoStim est maintenant accompagnée de Viva Lab ! Avec la Carsat Sud-Est et ses partenaires, le repérage et le dépistage des fragilités pourra évoluer vers une solution de prévention des troubles cognitifs pour les particuliers.

ExoStim à Meyreuil commence une collaboration avec Carsat Sud-Est, soutenue par Viva Lab dans le but de repérer et de prendre en charge les troubles cognitifs ! Une évolution majeure pour palier la perte d’autonomie et les fragilités des personnes concernées, même à domicile.

Viva Lab est issu d’un partenariat entre l’Agirc-Arrco, France Active, la Caisse des Dépôts, la MSA et la CNAV. Dispositif de soutien et d’accompagnement, Viva Lab encourage les initiatives technologiques, organisationnelles ou techniques dans le domaine de la prévention de la perte d’autonomie !

Prévention à domicile, lutte contre l’isolement, soutien aux aidants, projet de lieux de vie collectifs, accompagnement à la mobilité et adaptation du logement sont les champs d’actions concrets de cette organisation.

Pour prendre en charge les troubles cognitifs de tous et commencer un entraînement sur-mesure, ExoStim développe Adéquation ExoStim grâce à son exceptionnelle collaboration et ses nouveaux partenaires.

Déjà présent dans plus de 50 établissements, ExoStim souhaitait répondre à la demande croissante des particuliers et de leurs aidants. Adéquation Exostim permettra d’accompagner les particuliers avec ou sans référent !

Trois actions sont engagées pour cette collaboration avec Viva Lab pour prévenir les troubles cognitifs à domicile :

  • L’ exceptionnelle aide financière au développement d’ « Adéquation ExoStim »
  • L’accompagnement à une levée de fonds en partenariat avec France Active
  • L’accompagnement à la structuration du projet à destination des particuliers notamment sur les impacts sociaux et sociétaux (RSE, ESS…)

Destinée aux particuliers et aidants à domicile, Adéquation ExoStim répond aux problématiques courantes des personnes fragilisées.

Elles ne sont pas en centre spécialisé ou ont un délai de 6 mois à un an pour un rendez-vous en centre mémoire.

  • Adéquation ExoStim résout les inquiétudes 1 français sur 3 de plus de 50 ans se plaint de problèmes de mémoire.
  • Prévient pour le maintien de l’autonomie à domicile
  • Prend en charge les troubles cognitifs

Vivalab finance le développement de ce nouveau projet à visée plus large, en compagnie des développeurs de Simplon.prod ! Les testeurs d’Adéquation ExoStim participeront à la finalisation et à la mise en place de cette solution à domicile. Pour ce faire, les testeurs du LAB des Senioriales, du LAB de l’Association des Paralysés de France et des utilisateurs ExoStim ont répondus présents à l’appel !

Notre solution à domicile contre les troubles cognitifs comprend une évaluation gratuite annuelle réalisable sur smartphone et tablette ! Un entraînement cognitif sur-mesure sera disponible à partir du troisième trimestre de cette année.

Vous êtes intéressé par Adéquation ExoStim ? Vous souhaitez que les problèmes d’un proche ou les vôtres soient pris en charge ? Contactez-nous pour toute information au 06 38 28 42 38 ou à l’adresse contact@exostim.com !

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